Sharing is Caring #35 - Le retour de la revanche de la su...
4 years ago
General
Bonjour tout le monde !
Regardez qui ramène sa fraise comme si de rien n’était après vous avoir abandonnés pendant sept mois. Eh oui, c’est moi, je plaide coupable. Vous me direz, je ne suis pas assez présomptueux pour sincèrement penser que j’ai pu vous manquer, mais j’espère que (re)voir apparaître le nom de mon petit bulletin dans vos notifications vous aura quand même fait un peu plaisir. Enfin, ce n’est pas comme si j’avais purement et simplement déserté FA. Au contraire. Autant je n’ai rien posté comme contenu personnel pendant les sept derniers mois, autant j’ai l’impression que je n’ai jamais laissé autant de commentaires sur les oeuvres des artistes que je suis (pourquoi est-ce que la première personne du verbe "suivre" est la même que celle du verbe "être" ? c'est la porte ouverte à tellement de quiproquo XD ). Il faut dire que j'ai réussi à pas mal sortir de ma coquille ces derniers temps. Relativement parlant. J'ose plus facilement interagir avec les personnes dont le travail retient mon attention et j'ai même commencé à discuter avec des gens sur des sites comme Reddit, Tumblr et YouTube. Je sais que ça n'a pas l'air de grand-chose dit comme ça, mais pour l'énorme introverti que je suis, ça a été une expérience assez surréaliste. Pour ne rien vous cacher, c'est quelque chose que j'ai encore beaucoup de mal à extérioriser. Rien qu'en écrivant ces quelques lignes, je sens que les mots peinent à venir. J'ai beau tourner et retourner les phrases dans ma tête, je n'arrive tout simplement pas à formuler les choses, à articuler tout ce que j'ai sur le coeur et que j'aimerais vous dire. Aussi, coupons court à cette petite séance d'introspection et entrons plutôt dans le vif du sujet. De toute façon, je ne pense pas que vous soyez là pour m'entendre déblatérer sur le sujet, n'est-ce pas ? Je vous épargnerai aussi mes platitudes habituelles sur le temps qui passe (même si pour le coup, je suis sûr qu'elles vous ont terriblement manqué... allez, ne dites pas le contraire :p ). Laissez-moi seulement ajouter, avant d'attaquer les présentations du jour, à quel point je suis content de vous retrouver pour cette newsletter. C’est toujours une joie pour moi de partager avec vous tous ces mondes qui traversent ma vie. Je ne sais pas pendant encore combien de temps j’aurai la motivation et le désir qui me pousse à rédiger ces articles - ainsi vont les choses, la passion n’est pas inépuisable -, mais je compte bien savourer chaque pas que nous ferons ensemble sur cette route... Ah, quel poète je fais. :p En attendant, qui dit "septembre" dit "rentrée", aussi me suis-je dit que c’était le moment idéal pour reprendre les bonnes vieilles habitudes. Ça tombe bien, après sept mois d’hibernation*, j’ai plein de trucs à vous présenter ! Autant dire que vous n’allez pas vous ennuyer. Sans plus de cérémonie, voici donc Sharing is Caring - numéro trente-cinq. Amusez-vous bien. ^_^
* Encore que je devrais plutôt parler d'"estivation", dans la mesure où c’est la saison chaude que j’ai passée à glandouiller...
- Flamecraft (Cardboard Alchemy)
https://www.kickstarter.com/project.....emy/flamecraft
Qu’est-ce que Flamecraft, me demanderez-vous. Réponse courte : c’est un jeu de société. Réponse longue : c’est un univers enchanteur dans lequel les humains cohabitent avec de petits dragons passionnés d’artisanat qui ont mis leur aptitude naturelle à cracher des flammes au service de leurs professions. Pour les besoins du jeu, ces adorables petits cracheurs de feu se divisent en six catégories (il est prévu que le jeu sorte aussi en version française, mais comme je ne connais pas encore les traductions officielles, j’ai dû improviser) : les dragons boulangers, qui s’intéressent à tout ce qui concerne le pain et les viennoiseries ; les viandards, spécialistes des grillades et de tout ce qui a trait à la préparation des viandes ; les fabricants de potions, versés dans l’art de l’infusion des remèdes et des philtres magiques (ce sont aussi des mixologues accomplis et d’excellents baristas) ; les herboristes, qui s’occupent de tout ce qui touche à la culture des plantes, comme par exemple l’entretien des jardins et des potagers ; les forgerons, qui sont bien évidemment spécialisés dans la métallurgie ; et enfin les joailliers, passionnés par les pierres précieuses et par tout ce qui concerne la fabrication des bijoux. Votre mission, si vous l’acceptez, sera donc de vous balader dans la bourgade où ces entrepreneurs miniatures se sont établis – représentée par le plateau de jeu – et de les aider à faire prospérer leurs commerces. Bon, je vous avouerai que je n’ai pas encore vraiment pris le temps d’étudier la mécanique de jeu, alors je serais bien incapable de vous expliquer comment vous êtes censés faire… Mais vous l’aurez bien compris à la façon dont j’en parle depuis le début de cet article, c’est avant tout l’identité visuelle du projet qui m’a séduit. Parce qu’au risque de me répéter, ces petits dragons sont vraiment a-do-rables. Et encore, je pèse mes mots. Porté par le talent et la sensibilité artistique de Sandara, dont le coup de crayon doux et chaleureux retranscrit avec une incomparable délicatesse toute la tendresse qui imprègne cet univers, Flamecraft fait partie de ces choses dont la seule existence suffit à vous arracher un sourire. N’est-ce pas aussi cela que l’on appelle de l'"art" ? (Voilà qui ferait un bon sujet de dissertation. XD )
- kekeflipnote
https://www.youtube.com/watch?v=9n7xLAOk8uU
Si vous avez le moral dans les chaussettes, les créations loufoques de Kéké Flipnote - à ne pas confondre avec le célèbre chanteur canin d’Animal Crossing,Kiki Laréglisse Kéké Laglisse - sont le remède qu’il vous faut pour vous le remettre au beau fixe. Comme l’indique son pseudonyme, les petits clips animés qu’il poste sur sa chaîne sont tous réalisés à l’aide de Flipnote Studio, un modeste logiciel d’animation conçu pour la Nintendo DSi. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’artiste a vraiment su exploiter tout le potentiel de son outil. Le résultat est un concentré de bonne humeur et de fantaisie à l’esthétique rondouillarde porté par une animation tellement fluide que l'on pourrait s'en servir comme lubrifiant que Kéké en est venu à réaliser une compilation entière sur le thème de l'état liquide. Son talent n’est d’ailleurs pas passé inaperçu, puisqu’en 2019, la chaîne ARTE lui a commandé une douzaine de saynètes. Intitulée L'odyssée de Klassik, la série suit les mésaventures d’une adorable petite gerboise, parodiant les plus célèbres épisodes de la mythologie grecque au son des plus grandes pages de la musique classique. Un vrai régal. Laissez-vous donc vous aussi emporter par la magie de Flipnote Studio et plongez allégrement dans cet univers facétieux fait d’animaux rigolos et de baguettes de pain (je sais, ça a l’air un peu bizarre dit comme ça, mais c’est aussi ce côté délicieusement absurde qui fait tout le charme de ses créations ;3 ).
- Priapus (Mentaiko/Itto)
https://e-hentai.org/g/489147/63427f02a6/ (Vous pourrez également trouver les autres chapitre sur ce même site.)
J’étais sur le point d’écrire que le titre de ce doujin était en soi un avertissement plus que suffisant quant à la nature de son contenu, et puis j’ai réalisé que Priape n’était pas non plus l’une des figures les plus connues de la mythologie grecque. Du coup, pour ceux qui ne le connaîtraient pas, il s’agit d’un dieu mineur de la fertilité. Comme il y en a tant, me direz-vous, mais vous vous doutez bien que l’histoire ne s’arrête pas là. En effet, s’il est surnommé "Priape ithyphallique", c’est parce que son principal attribut divin n’est autre que son énorme verge en perpétuelle érection. Croustillant, n’est-ce pas ? Vous l’aurez donc compris, Priapus est un dojinshi impudemment pornographique. Je ne sais plus si je vous ai déjà présenté d’autres oeuvres de cet auteur - ce qui ne m’étonnerait pas, dans la mesure où j’affectionne énormément son travail -, mais j’oserais dire que Priapus est sans doute sa série la plus emblématique. En fait, il m’a toujours semblé que son personnage principal était la mascotte officielle de l’artiste. Je ne sais pas si c’est effectivement le cas, mais il faut bien reconnaître qu’en plus d’être hyper sexy, c’est aussi un protagoniste bougrement attachant. Mais commençons plutôt par le commencement, si vous le voulez bien (dit-il sans même vous laisser le temps de donner votre avis). Ecoeuré par l’incessant spectacle de la cruauté des Hommes, Zeus, roi des dieux de l’Olympe et souverain du monde, a décidé d’anéantir une bonne fois pour toutes l’humanité. Seulement voilà, le Zeus en question est bien différent de son modèle mythologique et ne supporte pas l’idée de faire couler le sang, même lorsqu’il s’agit de celui d’une engeance aussi méprisable que les humains. Il charge donc Priape, dieu de la virilité, de conduire l’humanité à une forme autrement plus douce d’extinction. Comment ? Eh bien c’est simple : en faisant en sorte que tous les mâles reproducteurs de l’espèce humaine deviennent gays, pardi ! Et comme Priape prend sa mission très au sérieux (si, si), il va personnellement se charger de convertir tous les hétéros de la planète aux joies de l’homosexualité. Un par un, s’il le faut. La série suit ainsi le séduisant seigneur du sexe dans sa quêtede beaux hommes à baiser d'extermination de l'humanité, chaque chapitre introduisant un nouveau membre de son grandissant harem une nouvelle victime de l'insidieuse ambition de Zeus. Et grâce à ses irrésistibles pouvoirs, ainsi qu’à la multitude d’instruments divins dont il dispose, vous pouvez être sûrs qu’aucun géniteur potentiel n’échappera à l’appétit insatiable de Priape, que ce soit un jeune étudiant commençant à peine à explorer sa sexualité, ou le chef taciturne d’un impitoyable gang de yakuzas. Sexy et décalé, l’auteur signe avec Priapus un récit pornographique délicieusement impertinent dont l’action, sublimée par un trait toujours aussi clair et dynamique, se veut aussi juteuse que les deux gros fruits qui pendent entre les cuisses de son héros. (Pour la petite anecdote, dans la mythologie classique, Priape est en fait le fils de Dionysos. Ça n’a aucun rapport avec le dojinshi en lui-même, mais j’ai trouvé cela amusant que, sans préméditation aucune, la sélection de septembre, mois des vendanges, se termine par une oeuvre mettant en scène le fils du dieu du vin…)
Et voilà qui conclut cette trente-cinquième édition. J’espère qu’elle vous a plu. Y a pas à dire, ça fait du bien d’être de retour. À part ça, mes obsessions du moment sont la comédie musicale Joseph and the Amazing Technicolor Dreamcoat, la bande-son du Petit Dinosaure 7 et Joachim Valentine, l’exubérant vampire catcheur de Shadow Hearts : Covenant. D’ailleurs, en parlant de vampires et de jeux d’horreur, le prochain numéro sera aussi celui d’Halloween. Après tout, ce n’est pas parce que je viens tout juste de recommencer à publier cette newsletter que je vais faire l’impasse sur mes petites traditions. D’ici là, prenez soin de vous, et comme toujours, n’hésitez pas à laisser un message si vous avez un commentaire à faire sur les oeuvres que je vous présente ou sur mon bulletin en lui-même (et même si vous n’avez rien de spécial à raconter, d’ailleurs ; c’est toujours un plaisir de discuter avec vous ^_^ ). Sur ce, sali-salut ! :3
Regardez qui ramène sa fraise comme si de rien n’était après vous avoir abandonnés pendant sept mois. Eh oui, c’est moi, je plaide coupable. Vous me direz, je ne suis pas assez présomptueux pour sincèrement penser que j’ai pu vous manquer, mais j’espère que (re)voir apparaître le nom de mon petit bulletin dans vos notifications vous aura quand même fait un peu plaisir. Enfin, ce n’est pas comme si j’avais purement et simplement déserté FA. Au contraire. Autant je n’ai rien posté comme contenu personnel pendant les sept derniers mois, autant j’ai l’impression que je n’ai jamais laissé autant de commentaires sur les oeuvres des artistes que je suis (pourquoi est-ce que la première personne du verbe "suivre" est la même que celle du verbe "être" ? c'est la porte ouverte à tellement de quiproquo XD ). Il faut dire que j'ai réussi à pas mal sortir de ma coquille ces derniers temps. Relativement parlant. J'ose plus facilement interagir avec les personnes dont le travail retient mon attention et j'ai même commencé à discuter avec des gens sur des sites comme Reddit, Tumblr et YouTube. Je sais que ça n'a pas l'air de grand-chose dit comme ça, mais pour l'énorme introverti que je suis, ça a été une expérience assez surréaliste. Pour ne rien vous cacher, c'est quelque chose que j'ai encore beaucoup de mal à extérioriser. Rien qu'en écrivant ces quelques lignes, je sens que les mots peinent à venir. J'ai beau tourner et retourner les phrases dans ma tête, je n'arrive tout simplement pas à formuler les choses, à articuler tout ce que j'ai sur le coeur et que j'aimerais vous dire. Aussi, coupons court à cette petite séance d'introspection et entrons plutôt dans le vif du sujet. De toute façon, je ne pense pas que vous soyez là pour m'entendre déblatérer sur le sujet, n'est-ce pas ? Je vous épargnerai aussi mes platitudes habituelles sur le temps qui passe (même si pour le coup, je suis sûr qu'elles vous ont terriblement manqué... allez, ne dites pas le contraire :p ). Laissez-moi seulement ajouter, avant d'attaquer les présentations du jour, à quel point je suis content de vous retrouver pour cette newsletter. C’est toujours une joie pour moi de partager avec vous tous ces mondes qui traversent ma vie. Je ne sais pas pendant encore combien de temps j’aurai la motivation et le désir qui me pousse à rédiger ces articles - ainsi vont les choses, la passion n’est pas inépuisable -, mais je compte bien savourer chaque pas que nous ferons ensemble sur cette route... Ah, quel poète je fais. :p En attendant, qui dit "septembre" dit "rentrée", aussi me suis-je dit que c’était le moment idéal pour reprendre les bonnes vieilles habitudes. Ça tombe bien, après sept mois d’hibernation*, j’ai plein de trucs à vous présenter ! Autant dire que vous n’allez pas vous ennuyer. Sans plus de cérémonie, voici donc Sharing is Caring - numéro trente-cinq. Amusez-vous bien. ^_^
* Encore que je devrais plutôt parler d'"estivation", dans la mesure où c’est la saison chaude que j’ai passée à glandouiller...
- Flamecraft (Cardboard Alchemy)
https://www.kickstarter.com/project.....emy/flamecraft
Qu’est-ce que Flamecraft, me demanderez-vous. Réponse courte : c’est un jeu de société. Réponse longue : c’est un univers enchanteur dans lequel les humains cohabitent avec de petits dragons passionnés d’artisanat qui ont mis leur aptitude naturelle à cracher des flammes au service de leurs professions. Pour les besoins du jeu, ces adorables petits cracheurs de feu se divisent en six catégories (il est prévu que le jeu sorte aussi en version française, mais comme je ne connais pas encore les traductions officielles, j’ai dû improviser) : les dragons boulangers, qui s’intéressent à tout ce qui concerne le pain et les viennoiseries ; les viandards, spécialistes des grillades et de tout ce qui a trait à la préparation des viandes ; les fabricants de potions, versés dans l’art de l’infusion des remèdes et des philtres magiques (ce sont aussi des mixologues accomplis et d’excellents baristas) ; les herboristes, qui s’occupent de tout ce qui touche à la culture des plantes, comme par exemple l’entretien des jardins et des potagers ; les forgerons, qui sont bien évidemment spécialisés dans la métallurgie ; et enfin les joailliers, passionnés par les pierres précieuses et par tout ce qui concerne la fabrication des bijoux. Votre mission, si vous l’acceptez, sera donc de vous balader dans la bourgade où ces entrepreneurs miniatures se sont établis – représentée par le plateau de jeu – et de les aider à faire prospérer leurs commerces. Bon, je vous avouerai que je n’ai pas encore vraiment pris le temps d’étudier la mécanique de jeu, alors je serais bien incapable de vous expliquer comment vous êtes censés faire… Mais vous l’aurez bien compris à la façon dont j’en parle depuis le début de cet article, c’est avant tout l’identité visuelle du projet qui m’a séduit. Parce qu’au risque de me répéter, ces petits dragons sont vraiment a-do-rables. Et encore, je pèse mes mots. Porté par le talent et la sensibilité artistique de Sandara, dont le coup de crayon doux et chaleureux retranscrit avec une incomparable délicatesse toute la tendresse qui imprègne cet univers, Flamecraft fait partie de ces choses dont la seule existence suffit à vous arracher un sourire. N’est-ce pas aussi cela que l’on appelle de l'"art" ? (Voilà qui ferait un bon sujet de dissertation. XD )
- kekeflipnote
https://www.youtube.com/watch?v=9n7xLAOk8uU
Si vous avez le moral dans les chaussettes, les créations loufoques de Kéké Flipnote - à ne pas confondre avec le célèbre chanteur canin d’Animal Crossing,
- Priapus (Mentaiko/Itto)
https://e-hentai.org/g/489147/63427f02a6/ (Vous pourrez également trouver les autres chapitre sur ce même site.)
J’étais sur le point d’écrire que le titre de ce doujin était en soi un avertissement plus que suffisant quant à la nature de son contenu, et puis j’ai réalisé que Priape n’était pas non plus l’une des figures les plus connues de la mythologie grecque. Du coup, pour ceux qui ne le connaîtraient pas, il s’agit d’un dieu mineur de la fertilité. Comme il y en a tant, me direz-vous, mais vous vous doutez bien que l’histoire ne s’arrête pas là. En effet, s’il est surnommé "Priape ithyphallique", c’est parce que son principal attribut divin n’est autre que son énorme verge en perpétuelle érection. Croustillant, n’est-ce pas ? Vous l’aurez donc compris, Priapus est un dojinshi impudemment pornographique. Je ne sais plus si je vous ai déjà présenté d’autres oeuvres de cet auteur - ce qui ne m’étonnerait pas, dans la mesure où j’affectionne énormément son travail -, mais j’oserais dire que Priapus est sans doute sa série la plus emblématique. En fait, il m’a toujours semblé que son personnage principal était la mascotte officielle de l’artiste. Je ne sais pas si c’est effectivement le cas, mais il faut bien reconnaître qu’en plus d’être hyper sexy, c’est aussi un protagoniste bougrement attachant. Mais commençons plutôt par le commencement, si vous le voulez bien (dit-il sans même vous laisser le temps de donner votre avis). Ecoeuré par l’incessant spectacle de la cruauté des Hommes, Zeus, roi des dieux de l’Olympe et souverain du monde, a décidé d’anéantir une bonne fois pour toutes l’humanité. Seulement voilà, le Zeus en question est bien différent de son modèle mythologique et ne supporte pas l’idée de faire couler le sang, même lorsqu’il s’agit de celui d’une engeance aussi méprisable que les humains. Il charge donc Priape, dieu de la virilité, de conduire l’humanité à une forme autrement plus douce d’extinction. Comment ? Eh bien c’est simple : en faisant en sorte que tous les mâles reproducteurs de l’espèce humaine deviennent gays, pardi ! Et comme Priape prend sa mission très au sérieux (si, si), il va personnellement se charger de convertir tous les hétéros de la planète aux joies de l’homosexualité. Un par un, s’il le faut. La série suit ainsi le séduisant seigneur du sexe dans sa quête
Et voilà qui conclut cette trente-cinquième édition. J’espère qu’elle vous a plu. Y a pas à dire, ça fait du bien d’être de retour. À part ça, mes obsessions du moment sont la comédie musicale Joseph and the Amazing Technicolor Dreamcoat, la bande-son du Petit Dinosaure 7 et Joachim Valentine, l’exubérant vampire catcheur de Shadow Hearts : Covenant. D’ailleurs, en parlant de vampires et de jeux d’horreur, le prochain numéro sera aussi celui d’Halloween. Après tout, ce n’est pas parce que je viens tout juste de recommencer à publier cette newsletter que je vais faire l’impasse sur mes petites traditions. D’ici là, prenez soin de vous, et comme toujours, n’hésitez pas à laisser un message si vous avez un commentaire à faire sur les oeuvres que je vous présente ou sur mon bulletin en lui-même (et même si vous n’avez rien de spécial à raconter, d’ailleurs ; c’est toujours un plaisir de discuter avec vous ^_^ ). Sur ce, sali-salut ! :3
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