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All / Comics
Species Dragon (Other)
Size 897 x 1280
File Size 435.3 kB
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Just a little quick sketch comic i wanted to draw for some inspiration, commissions are progressing slowly as always. ^^;
It's just a little part of the Dragon knight story i keep in a corner of my mind for now.
Just an usual day for the dragon queen and her servitor, i guess that's how some legends begin, somehow... ;p
It's just a little part of the Dragon knight story i keep in a corner of my mind for now.
Just an usual day for the dragon queen and her servitor, i guess that's how some legends begin, somehow... ;p
Category All / Comics
Species Dragon (Other)
Size 897 x 1280px
File Size 435.3 kB
Le genre de chevalier qui préfèrera miser la victoire sur des machines plutôt que sur sa propre force, j'imagine.
Parfois, en lisant un conte, je m'amuse à imaginer que plus le héros est décrit de manière positive (genre hyper courageux, honorable, toujours en train d'aider le prochain qui passe, etc... ) plus il devait être faible et lâche dans la réalité et que la majeure partie de son succès vient juste d'un monstrueux coup de bol et rien de plus. XD
Parfois, en lisant un conte, je m'amuse à imaginer que plus le héros est décrit de manière positive (genre hyper courageux, honorable, toujours en train d'aider le prochain qui passe, etc... ) plus il devait être faible et lâche dans la réalité et que la majeure partie de son succès vient juste d'un monstrueux coup de bol et rien de plus. XD
Si tu lis d'authentiques récits du mythe arthurien (traduit dans un français moderne sinon c'est incompréhensible), attends-toi à être un peu désorienté...
La mentalité médiévale n'est pas du tout " cartésienne ", et bien des aspects culturels continuent de m'échapper totalement. Il faut savoir que c'étaient des trucs souvent à plusieurs niveaux de lecture... Avec des allusions à des vieux mythes et légendes dont on a perdu la trace depuis belle lurette.
Que les chevaliers ne soient pratiquement jamais décrits comme des intellectuels, c'est normal : on leur demandait d'utiliser bien plus leur force physique que leur cerveau. On leur demandait surtout d'être des guerriers professionnels... Et puis, les gens de l'époque " pensaient " plus avec leurs sentiments qu'avec leur tête. Émotionnellement parlant, tout semble beaucoup plus fort qu'aujourd'hui : les gens rient ou pleurent facilement suivant les circonstances, les amours et les haines sont toujours brûlantes, etc.
La mentalité médiévale n'est pas du tout " cartésienne ", et bien des aspects culturels continuent de m'échapper totalement. Il faut savoir que c'étaient des trucs souvent à plusieurs niveaux de lecture... Avec des allusions à des vieux mythes et légendes dont on a perdu la trace depuis belle lurette.
Que les chevaliers ne soient pratiquement jamais décrits comme des intellectuels, c'est normal : on leur demandait d'utiliser bien plus leur force physique que leur cerveau. On leur demandait surtout d'être des guerriers professionnels... Et puis, les gens de l'époque " pensaient " plus avec leurs sentiments qu'avec leur tête. Émotionnellement parlant, tout semble beaucoup plus fort qu'aujourd'hui : les gens rient ou pleurent facilement suivant les circonstances, les amours et les haines sont toujours brûlantes, etc.
J'aurais tendance à penser que l'espérance de vie de l'époque devait pas mal influer sur les mentalités et les croyances, sans compter que les enfants n'avaient pas tous droit à une éducation scolaire. Du coup, je me dis que les contes et légendes faisaient souvent office de leçons de vie pour la populace moyenne.
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