Bien sots sont ces hommes attaquant sans retenue
Leur égal, d’autres hommes, non, plus innocents !
Nous pleurons, nous crions et nous sommes émus
De ces êtres qui de cent ont versé le sang !
Et ils ont cru attaquer notre Beaumarchais,
Notre Voltaire ! Notre colisée ! Orgueil !
Orgueil ! de penser la République tuée !
Un grand courroux s’abattra sur vous suite au deuil !
Vous êtes pire que l’homme que vous mâtez !
Les couards n’ont pas d’honneur ! Ils n’ont pas de gloire !
Vous ne pouvez tuer ce que nous avons créé !
Et notre peuple sera votre purgatoire !
Plus forte que la peur est notre liberté !
A nous ! Unissons-nos voix ! Faisons-les trembler !
Leur égal, d’autres hommes, non, plus innocents !
Nous pleurons, nous crions et nous sommes émus
De ces êtres qui de cent ont versé le sang !
Et ils ont cru attaquer notre Beaumarchais,
Notre Voltaire ! Notre colisée ! Orgueil !
Orgueil ! de penser la République tuée !
Un grand courroux s’abattra sur vous suite au deuil !
Vous êtes pire que l’homme que vous mâtez !
Les couards n’ont pas d’honneur ! Ils n’ont pas de gloire !
Vous ne pouvez tuer ce que nous avons créé !
Et notre peuple sera votre purgatoire !
Plus forte que la peur est notre liberté !
A nous ! Unissons-nos voix ! Faisons-les trembler !
Category Poetry / Human
Species Unspecified / Any
Size 120 x 68px
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