After a good meal ... This big beast deserved a good hot bath !
Beast and Lumière belongs to Disney
Beast and Lumière belongs to Disney
Category All / Fat Furs
Species Exotic (Other)
Size 1280 x 720px
File Size 236.5 kB
Je pensais "développement durable" de la bedaine, tant qu'à boire le reste d'un bain, autant que ce soit celui d'un bain de friture, au moins ça tient au corps. Bien sûr pour que cela soit équilibré, avant de le siroter pour le dessert, il aura servi pour quelques kilos de pommes de terres et moult variétés de viandes, de quoi faire faire un bon repas à cette brave bête
Aller, j’allume la friteuse.
Aller, j’allume la friteuse.
Aucun risque, je ne lui ferai pas boire l'huile avant qu'elle ne soit refroidie, et si c'est trop lent, je ferai fondre un peu de beurre dedans pour aller plus vite (et en plus ça la rendra plus goûtue)
Et voila le premier kilo de grosses frites, et comme les frites seules c'est pas terrible, voici un peut de mayonnaise pour les accompagner en attendant la viande !
Et voila le premier kilo de grosses frites, et comme les frites seules c'est pas terrible, voici un peut de mayonnaise pour les accompagner en attendant la viande !
C'est bien là le but Mais pas n'importe comment, il faut avant tout que cela soit un plaisir.
La viande cuite était déjà remplacée par un deuxième kilo de frite qui faisait frémir le bain de nouveau.
Ici pas de viande dure à mâcher qui reste sur l'estomac ou de celles pleines d'os que l'on est forcé de grignoter avec le risque qu'une esquille ne vienne se coincer entre les dents.
Non non non, de bons cervelas hachés si finement qu'on pourrait les avaler tout rond.
Il suffit juste de garnir le bout avec un cuillère de mayonnaise et de la gober comme un œuf, lui expliquai je.
La bête, qui venait d'engouffrer la dernière poignée de frites pris un air interrogateur.
Tu essayes ou je dois te montrer ? Enfin si tu veux prendre ton temps à les mâcher, ce n'est pas plus mal, cela évitera de devoir patienter entre les services...
La viande cuite était déjà remplacée par un deuxième kilo de frite qui faisait frémir le bain de nouveau.
Ici pas de viande dure à mâcher qui reste sur l'estomac ou de celles pleines d'os que l'on est forcé de grignoter avec le risque qu'une esquille ne vienne se coincer entre les dents.
Non non non, de bons cervelas hachés si finement qu'on pourrait les avaler tout rond.
Il suffit juste de garnir le bout avec un cuillère de mayonnaise et de la gober comme un œuf, lui expliquai je.
La bête, qui venait d'engouffrer la dernière poignée de frites pris un air interrogateur.
Tu essayes ou je dois te montrer ? Enfin si tu veux prendre ton temps à les mâcher, ce n'est pas plus mal, cela évitera de devoir patienter entre les services...
Je vis disparaître le dernier cervelas au moment où je revenais avec un nouveau kilo de frites et un autre de viande.
"Je voie que tu as finalement adopté ma technique. "
Ton énorme patte caressant ton tout aussi énorme ventre m'émoustilla, je ne résisterais pas à la tentation de le toucher.
"Mal maîtrisée tu avales de l'air et il semble que tu la maîtrise mal, et l'air même si c'est compressible, ça prend de la place, je vais t'aider à t'en débarrasser" dis-je en déposant les plats.
"Tu permets" déclarais-je en écartant ta patte, "ça vas te soulager"
Au contact de ta fourrure une vague électrique me parcourue, je m'attendais à sentir mes mains s'enfoncer dans ton ventre mou, mais je sentais clairement tes muscles résister à la pression que j'exerçais. Le relief insoupçonné de tes abdos cachés sous ta fourrure provoqua en moi un nouveau frémissement.
Comprenant ce que je recherchais tu saisie mes avant-bras et les tira vers toi augmentant ainsi la pression sur ton ventre.
Ce qui devait arriver arriva, je sentais mes mains s'enfoncer tandis que l'air ressortait en un long rot.
"Voilà qui est mieux. Maintenant remplaçons tout cet air" dis-je en approchant un cervelas couvert de mayonnaise, sans être capable de retirer mon autre main de ton ventre...
"Je voie que tu as finalement adopté ma technique. "
Ton énorme patte caressant ton tout aussi énorme ventre m'émoustilla, je ne résisterais pas à la tentation de le toucher.
"Mal maîtrisée tu avales de l'air et il semble que tu la maîtrise mal, et l'air même si c'est compressible, ça prend de la place, je vais t'aider à t'en débarrasser" dis-je en déposant les plats.
"Tu permets" déclarais-je en écartant ta patte, "ça vas te soulager"
Au contact de ta fourrure une vague électrique me parcourue, je m'attendais à sentir mes mains s'enfoncer dans ton ventre mou, mais je sentais clairement tes muscles résister à la pression que j'exerçais. Le relief insoupçonné de tes abdos cachés sous ta fourrure provoqua en moi un nouveau frémissement.
Comprenant ce que je recherchais tu saisie mes avant-bras et les tira vers toi augmentant ainsi la pression sur ton ventre.
Ce qui devait arriver arriva, je sentais mes mains s'enfoncer tandis que l'air ressortait en un long rot.
"Voilà qui est mieux. Maintenant remplaçons tout cet air" dis-je en approchant un cervelas couvert de mayonnaise, sans être capable de retirer mon autre main de ton ventre...
"Oooooh je vois que tu aimes ça !" Je vide tout l'air de mes poumons avant de prendre ledit cervelas couvert de mayonnaise et de le fourrer dans ma bouche et de l'avaler tout rond ! Je soupire en tirant la langue avant de t'attirer vers moi et de te coller contre mon gros ventre en voyant que tu aimes ça, je t'enfonce dans mon ventre tandis que tu caresse chaque centimètre carré de mon énorme ventre.
Bien qu'assez rebondis avec mes 140 kilos, mon propre ventre semblais ridicule à côté du tien.
A mesure que tes mains pressaient sur mon dos, comme une balle de tennis aurait disparue sous un ballon de foot, mon ventre disparaissait, englobé par le tiens.
Ce faisant mes mains étaient repoussées par ton ventre qui gagnait en largeur.
Cette forme me plait, je dois poursuivre mes efforts et la lui faire conserver, me dis-je. Mais d'abord, je profitais de ce contact rapproché au maximum.
Je sentais ta fourrure passer entre mes doigts et en caressant ton ventre, par petits mouvements circulaire je remontais mon T-shirt pour enlever cette barrière de tissue entre nos ventres. La sensation de tes poils chatouillant mon nombril était exquise. Je parvenais à ressentir avec mon ventre les muscles que j’avais perçu un instant auparavant avec mes mains. Je me saisis d'un nouveau cervelas mayonnaise que je voulu introduire avec délicatesse dans ta bouche, mais à peine posé sur tes lèvres qu'il disparue, l'instant suivant, le contact de nos ventres étant si étroit ; je le sentait glisser à l’intérieur de ton estomac créant une nouvelle petite bosse à laquelle mon corps allai s'adapter. Voulant renouveler l’expérience, je mis un autre cervelas dans ta bouche, mais celui-ci ne disparue pas, au contraire, il se rapprocha de la mienne.
A mesure que tes mains pressaient sur mon dos, comme une balle de tennis aurait disparue sous un ballon de foot, mon ventre disparaissait, englobé par le tiens.
Ce faisant mes mains étaient repoussées par ton ventre qui gagnait en largeur.
Cette forme me plait, je dois poursuivre mes efforts et la lui faire conserver, me dis-je. Mais d'abord, je profitais de ce contact rapproché au maximum.
Je sentais ta fourrure passer entre mes doigts et en caressant ton ventre, par petits mouvements circulaire je remontais mon T-shirt pour enlever cette barrière de tissue entre nos ventres. La sensation de tes poils chatouillant mon nombril était exquise. Je parvenais à ressentir avec mon ventre les muscles que j’avais perçu un instant auparavant avec mes mains. Je me saisis d'un nouveau cervelas mayonnaise que je voulu introduire avec délicatesse dans ta bouche, mais à peine posé sur tes lèvres qu'il disparue, l'instant suivant, le contact de nos ventres étant si étroit ; je le sentait glisser à l’intérieur de ton estomac créant une nouvelle petite bosse à laquelle mon corps allai s'adapter. Voulant renouveler l’expérience, je mis un autre cervelas dans ta bouche, mais celui-ci ne disparue pas, au contraire, il se rapprocha de la mienne.
Allons allons, il faut d’abord finir le repas, sort de la baignoire et rejoint moi dans la salle à gaver heu, à manger.
Je m’empressais de cuire les viandes et les pommes de terre que j'avais préparé pour dresser la table avant que tu termines de sécher et brosser ta fourrure.
Lorsque tu entras dans la salle à manger, tu écarquillas les yeux devant la quantité qu'il y avait devant toi en marquant une pause.
Hé bien qu'attend tu ? Cela va refroidir. Tu avanças vers la table en comptant les plats.
Plus vite tu auras terminé, plus vite tu auras ton massage Dis-je en approchant le premier de la dizaine de plat de viande et de frites.
Aller ouvre grand ! Ordonnais-je un nouveau cervelas mayonnaise en main.
Je découvris alors la rapidité dont tu étais capable, en un éclair tu t’étais rapprocher et avais aspiré le cervelas.
Hé bien j'ai faim moi, si tu n'es pas capable de me servir plus vite, je vais prendre les devants.
Et c'est médusé que je te regardais engloutir les plats les uns après les autres à une vitesse incroyable. J'étais hypnotisé par ton ventre qui se dilatait à mesure que les plats de service vides s'empilaient. Le dernier plat vidé, tu me regardas en déclarant "Voilà, maintenant, le massage"
La rapidité de la scène fut telle que mon cerveau, encore en train de l'analyser, me laissa sans réaction.
Un claquement de doigt me sortit de ma réflexion. Tu es encore avec moi ? J'ai terminé les plats, je veux mon massage.
Oh oui, les plats sont finis mais il reste le dessert, tu voulais boire un bain, je vais le chercher, si tu as encore un peu de place, dis-je en jaugeant d’une main posée sur le coté de ton estomac la taille de celui-ci.
La taille en largeur dépassait déjà celle qu'elle avait alors que mon ventre se pressait contre le tien, j'étais en train de me demander s’il était raisonnable de te donner encore à manger lorsque tu répondis "le seul moyen de le savoir était d’essayer."
De retour en cuisine, je vis parmi les ustensiles de cuisine un petit arrosoir. Quelle curiosité médiévale, il devait servir pour arroser de jus les bœufs qui cuisaient dans la cheminé. Tout en me disant que cela devait faire des centaines d’années qu’il n’avait pas dû servir, je lui trouvais un nouvel usage.
C’est à moitié assoupie les pattes sur le ventre que je te retrouvai à mon retour des cuisines.
Le dessert est servi, te dis-je en secouant une de tes pattes. Tu regardas alors dubitatif l’arrosoir posé sur la table.
Passons dans le salon, si tu t’installes dans un fauteuil, nous serons plus à l’aise pour la dégustation, et en passant ma main sous ta patte en faisant de petits mouvements circulaires, je terminai ma phase par "et pour le reste, si tu es d’accord"
Je m’empressais de cuire les viandes et les pommes de terre que j'avais préparé pour dresser la table avant que tu termines de sécher et brosser ta fourrure.
Lorsque tu entras dans la salle à manger, tu écarquillas les yeux devant la quantité qu'il y avait devant toi en marquant une pause.
Hé bien qu'attend tu ? Cela va refroidir. Tu avanças vers la table en comptant les plats.
Plus vite tu auras terminé, plus vite tu auras ton massage Dis-je en approchant le premier de la dizaine de plat de viande et de frites.
Aller ouvre grand ! Ordonnais-je un nouveau cervelas mayonnaise en main.
Je découvris alors la rapidité dont tu étais capable, en un éclair tu t’étais rapprocher et avais aspiré le cervelas.
Hé bien j'ai faim moi, si tu n'es pas capable de me servir plus vite, je vais prendre les devants.
Et c'est médusé que je te regardais engloutir les plats les uns après les autres à une vitesse incroyable. J'étais hypnotisé par ton ventre qui se dilatait à mesure que les plats de service vides s'empilaient. Le dernier plat vidé, tu me regardas en déclarant "Voilà, maintenant, le massage"
La rapidité de la scène fut telle que mon cerveau, encore en train de l'analyser, me laissa sans réaction.
Un claquement de doigt me sortit de ma réflexion. Tu es encore avec moi ? J'ai terminé les plats, je veux mon massage.
Oh oui, les plats sont finis mais il reste le dessert, tu voulais boire un bain, je vais le chercher, si tu as encore un peu de place, dis-je en jaugeant d’une main posée sur le coté de ton estomac la taille de celui-ci.
La taille en largeur dépassait déjà celle qu'elle avait alors que mon ventre se pressait contre le tien, j'étais en train de me demander s’il était raisonnable de te donner encore à manger lorsque tu répondis "le seul moyen de le savoir était d’essayer."
De retour en cuisine, je vis parmi les ustensiles de cuisine un petit arrosoir. Quelle curiosité médiévale, il devait servir pour arroser de jus les bœufs qui cuisaient dans la cheminé. Tout en me disant que cela devait faire des centaines d’années qu’il n’avait pas dû servir, je lui trouvais un nouvel usage.
C’est à moitié assoupie les pattes sur le ventre que je te retrouvai à mon retour des cuisines.
Le dessert est servi, te dis-je en secouant une de tes pattes. Tu regardas alors dubitatif l’arrosoir posé sur la table.
Passons dans le salon, si tu t’installes dans un fauteuil, nous serons plus à l’aise pour la dégustation, et en passant ma main sous ta patte en faisant de petits mouvements circulaires, je terminai ma phase par "et pour le reste, si tu es d’accord"
FA+


Comments