I really like drawing these two characters created by C. Arnal (also creator of Spiff / Pif le Chien)
It's funny to notice that even if most characters are walking barefoot, they still manage to have ticklish paws...
Muzo the fox enjoys living in a clean home... and it seems that Placid the bear has again forgotten to wipe his feet.
It's funny to notice that even if most characters are walking barefoot, they still manage to have ticklish paws...
Muzo the fox enjoys living in a clean home... and it seems that Placid the bear has again forgotten to wipe his feet.
Category Artwork (Digital) / Fanart
Species Bear (Other)
Size 1600 x 960px
File Size 2.48 MB
And if they don't have feet... it also works → https://www.youtube.com/watch?v=12H.....amp;amp;t=278s !
Tu sais que tu vas que tu vas très très loin dans la recherche graphique, au point que ça dépasse le langage classique de la BD de quelques années-lumières ?
Moi, je te l'ai déjà dit : une carrière d'illustrateur est devant toi si, jamais, tu voudrais te reconvertir professionnellement....
Moi, je te l'ai déjà dit : une carrière d'illustrateur est devant toi si, jamais, tu voudrais te reconvertir professionnellement....
Plus le temps passe et moins j'ai honte de ma manière de gribouiller... Par contre, plus le temps passe et plus je prends conscience que la vie est un équilibre entre revenus financiers (donc "niveau de vie") et efforts (donc stress) pour y parvenir.
Avec cette période étrange de télétravail généralisé et de "solitude" (à ne pas devoir subir 2 heures quotidiennes de compression physique dans les transport en commun pour me rendre sur mon lieu de travail) j'essayer d'envisager la vie différemment, notamment en négociant un télétravail (quitte à perdre mes 14 jours d'ARTT que je n'aurais plus besoin de "perdre" comme je le fais chaque année en les posant et en venant au travail pour assister à des réunions inutiles).
J'espère pouvoir garder mon travail de fonctionnaire (avec un salaire garanti à vie et un banquier qui m'accueil avec un semblant de sourire) et tenter une aventure graphique un peu plus "professionnelle" que de designer des logotypes pour les différents Projet ANR du labo où je travaille... mais dans notre belle société, un ingésclave aura toujours un tout petit peu plus de "valeur" (mais en fait à peine) qu'un illustrateur qui devra s'estimer heureux d'être payé en visibilité (ce qui n'est pas le cas pour mes logotypes, où mon nom n’apparaît nul part, ni même sur l'hypothétique "contrat" qui devait donner tous les droits d'utilisations, de diffusion, et de modification au "commanditaire"). Tant qu'on me laisse tranquillement travailler depuis chez moi et tester des trucs amusants sans devoir rendre des comptes de manière hebdomadaire, cela me va... mais pas sûr que ça dure.
Pour ce qui de la reconversion professionnelle, je serais plus tenté de me procurer des imprimantes pro et faire de la mini-édition de qualité acceptable (genre ne pas ¢ħiƐr l'étalonnage colorimétrique comme font certain magasine s'affichant "100% écolo") et ainsi pouvoir "exploiter dignement" les artistes que je publierais en essayant de leur donner un peu plus que les gros éditeurs mais, même ça, c'est chaud quand on est un minimum conscient du marché. Sans compter le stress que cela pourrait m'apporter.
Mais bon, au final, sauf coup de chance, celui qui ne tentera rien n'aura rien.
Avec cette période étrange de télétravail généralisé et de "solitude" (à ne pas devoir subir 2 heures quotidiennes de compression physique dans les transport en commun pour me rendre sur mon lieu de travail) j'essayer d'envisager la vie différemment, notamment en négociant un télétravail (quitte à perdre mes 14 jours d'ARTT que je n'aurais plus besoin de "perdre" comme je le fais chaque année en les posant et en venant au travail pour assister à des réunions inutiles).
J'espère pouvoir garder mon travail de fonctionnaire (avec un salaire garanti à vie et un banquier qui m'accueil avec un semblant de sourire) et tenter une aventure graphique un peu plus "professionnelle" que de designer des logotypes pour les différents Projet ANR du labo où je travaille... mais dans notre belle société, un ingésclave aura toujours un tout petit peu plus de "valeur" (mais en fait à peine) qu'un illustrateur qui devra s'estimer heureux d'être payé en visibilité (ce qui n'est pas le cas pour mes logotypes, où mon nom n’apparaît nul part, ni même sur l'hypothétique "contrat" qui devait donner tous les droits d'utilisations, de diffusion, et de modification au "commanditaire"). Tant qu'on me laisse tranquillement travailler depuis chez moi et tester des trucs amusants sans devoir rendre des comptes de manière hebdomadaire, cela me va... mais pas sûr que ça dure.
Pour ce qui de la reconversion professionnelle, je serais plus tenté de me procurer des imprimantes pro et faire de la mini-édition de qualité acceptable (genre ne pas ¢ħiƐr l'étalonnage colorimétrique comme font certain magasine s'affichant "100% écolo") et ainsi pouvoir "exploiter dignement" les artistes que je publierais en essayant de leur donner un peu plus que les gros éditeurs mais, même ça, c'est chaud quand on est un minimum conscient du marché. Sans compter le stress que cela pourrait m'apporter.
Mais bon, au final, sauf coup de chance, celui qui ne tentera rien n'aura rien.
Franchement, devenir éditeur, ça me paraît être un projet très ambitieux.... Surtout quand on a pas d'expérience dans le domaine !
Il ne suffit pas d'imprimer... If faut aussi développer un réseau de distribution pour ce que l'on produit.
C'est pour ça qu'à mon avis, le mieux est de tenter d'entrer " par la petite porte " dans le domaine, en amateur, et étudier de l'intérieur comment ça se passe.
Devenir un auteur célèbre dans le domaine de l'illustration, de toute façon, c'est très rare....
Un gars de l'Académie des Beaux-Arts, que j'ai croisé à l'époque, est devenu un auteur assez connu, à sa façon, dans le monde de l'édition pour la jeunesse. Mais, à ma connaissance, il n'a jamais vraiment gagné sa vie avec ça, même s'il sort un petit bouquin pratiquement chaque année...
https://www.ecoledesloisirs.fr/aute...../jean-maubille
En tant qu'artiste, je pense que le gars se contente de cette situation : il n'est ni riche, ni célèbre, mais il a un vrais public qui apprécie ce qu'il fait.... Devenir éditeur, c'est pas une mauvaise idée, mais ce n'est déjà plus le même métier...
Il ne suffit pas d'imprimer... If faut aussi développer un réseau de distribution pour ce que l'on produit.
C'est pour ça qu'à mon avis, le mieux est de tenter d'entrer " par la petite porte " dans le domaine, en amateur, et étudier de l'intérieur comment ça se passe.
Devenir un auteur célèbre dans le domaine de l'illustration, de toute façon, c'est très rare....
Un gars de l'Académie des Beaux-Arts, que j'ai croisé à l'époque, est devenu un auteur assez connu, à sa façon, dans le monde de l'édition pour la jeunesse. Mais, à ma connaissance, il n'a jamais vraiment gagné sa vie avec ça, même s'il sort un petit bouquin pratiquement chaque année...
https://www.ecoledesloisirs.fr/aute...../jean-maubille
En tant qu'artiste, je pense que le gars se contente de cette situation : il n'est ni riche, ni célèbre, mais il a un vrais public qui apprécie ce qu'il fait.... Devenir éditeur, c'est pas une mauvaise idée, mais ce n'est déjà plus le même métier...
Bien sûr que c'est ambitieux, sinon l'idée ne m'aurait jamais traversé l'esprit !
Plus sérieusement, le point qui me bloque le plus, c'est paradoxalement le coté commercial... je suis totalement incapable de me vendre. Je ne sais pas quel miracle j'ai réussi à passer les oraux des Travaux Publics de l'État pour arriver dans mon école d'ingénieur et le poste que j'occupe actuellement était à l'origine un truc dont personne ne voulait... et du coup je l'ai pris car c'était ma seule chance de pas me retrouver dans un poste de la production. Bizarrement, même si j'ai eu parfois des doutes, je ne vois pas trop comment j'aurai pu faire autre chose que travailler dans un labo de recherche : j'aime bien creuser un peu plus profond que ce qui est demandé... ;-p
Pour mon éventuel "reconversion" je n'y crois pas trop, en tout cas à court terme, mais cela ne m'empêche pas de dessiner, d'essayer de comprendre la démarche artistique des autres, me plonger dans les travaux complexes des animateurs que j'admire (ma passion pour le cinéma d'animation ne date pas d'hier, mais le travail que cela nécessite pour avoir un résultat acceptable et relativement peu motivant je dois bien l'avouer). Maintenant, je ne peux m'empêcher de repenser à un collègue qui avait quitté le monde de l'animation (où il avait fait carrière pendant plus de 16 ans, notamment en participant à des court-métrages primés) pour se lancer dans l'ingénierie. Il ne m'avait pas découragé (au contraire, ses anecdotes étaient souvent assez rigolotes) mais avait insisté sur deux choses : c'est un milieu où les diplômes comptent assez peu et où la qualité du travail fourni et du réseau qui s'en suit font tout - il ne faut pas jeter à la poubelle ses compétences passées mais les mettre en valeur dans un nouveau contexte.
En fin de compte, je ne m'interdit rien... mais je me donne le temps de faire les "tests". Par exemple, en octobre dernier, je devais faire une présentation "simplifiée" de mes travaux en cours en traitement d'images → le confinement m'a donné le temps ne pas faire comme les autres (une présentation "power point" avec commentaire pour chaque slide) et de tenter de pondre un truc plus élaboré. D'ailleurs, tapant mon "vrai nom" sur un moteur de recherche internet, on tombe sur la chaîne YouTube que j'avais créé pour l'occasion et que j'espère étoffer avec plus de vidéos plus ou moins du même genre (essentiellement dans l'optique d'en faire des "supports" sur les sujets que j'aborde lors de mes très rares cours).
Plus sérieusement, le point qui me bloque le plus, c'est paradoxalement le coté commercial... je suis totalement incapable de me vendre. Je ne sais pas quel miracle j'ai réussi à passer les oraux des Travaux Publics de l'État pour arriver dans mon école d'ingénieur et le poste que j'occupe actuellement était à l'origine un truc dont personne ne voulait... et du coup je l'ai pris car c'était ma seule chance de pas me retrouver dans un poste de la production. Bizarrement, même si j'ai eu parfois des doutes, je ne vois pas trop comment j'aurai pu faire autre chose que travailler dans un labo de recherche : j'aime bien creuser un peu plus profond que ce qui est demandé... ;-p
Pour mon éventuel "reconversion" je n'y crois pas trop, en tout cas à court terme, mais cela ne m'empêche pas de dessiner, d'essayer de comprendre la démarche artistique des autres, me plonger dans les travaux complexes des animateurs que j'admire (ma passion pour le cinéma d'animation ne date pas d'hier, mais le travail que cela nécessite pour avoir un résultat acceptable et relativement peu motivant je dois bien l'avouer). Maintenant, je ne peux m'empêcher de repenser à un collègue qui avait quitté le monde de l'animation (où il avait fait carrière pendant plus de 16 ans, notamment en participant à des court-métrages primés) pour se lancer dans l'ingénierie. Il ne m'avait pas découragé (au contraire, ses anecdotes étaient souvent assez rigolotes) mais avait insisté sur deux choses : c'est un milieu où les diplômes comptent assez peu et où la qualité du travail fourni et du réseau qui s'en suit font tout - il ne faut pas jeter à la poubelle ses compétences passées mais les mettre en valeur dans un nouveau contexte.
En fin de compte, je ne m'interdit rien... mais je me donne le temps de faire les "tests". Par exemple, en octobre dernier, je devais faire une présentation "simplifiée" de mes travaux en cours en traitement d'images → le confinement m'a donné le temps ne pas faire comme les autres (une présentation "power point" avec commentaire pour chaque slide) et de tenter de pondre un truc plus élaboré. D'ailleurs, tapant mon "vrai nom" sur un moteur de recherche internet, on tombe sur la chaîne YouTube que j'avais créé pour l'occasion et que j'espère étoffer avec plus de vidéos plus ou moins du même genre (essentiellement dans l'optique d'en faire des "supports" sur les sujets que j'aborde lors de mes très rares cours).
Merci beaucoup !
Mais je doute que quitter mon statut de fonctionnaire soit des plus sage en ce moment.
Le jour où on arrêterait de me payer, cela signifierait que la France va très très mal...
Par contre, plus le temps passe, plus un revenu complémentaire serait intéressant.
Mais je doute que quitter mon statut de fonctionnaire soit des plus sage en ce moment.
Le jour où on arrêterait de me payer, cela signifierait que la France va très très mal...
Par contre, plus le temps passe, plus un revenu complémentaire serait intéressant.
On va dire que mon banquier (ou plutôt mes conseillers bancaires successifs) m'ont fait prendre une assurance-vie (compte bloqué avec investissements divers) pour tenter d'épargner un peu en évitant de me faire dépasser par l'inflation. Mais bon, je me trouve peu à peu dans une situation où je devrai prendre des décisions radicales (genre tenter de m'endetter sur 25 ans devenir propriétaire, histoire de me stabiliser un peu plus en cas de gros pépin économique mondial). Mais je déteste prendre des décisions, encore plus quand elle vont changer le cours de mon existence. Mais mon expérience récente m'a confirmé mes craintes : on ne fait pas toujours comme on veut (et surtout quand on veut)... ^^
FA+


Comments