POSSEDE
12 years ago
Oooh !
Cette musique dans la tête, tourbillon absolu
Où bascule la raison, et flambe dans l’extase
Pour un vertige trop fort et cet élan trop grand,
Accepter la prison des déluges intimes
Qui disent leur bonheur autant que leur terreur !
Quelles joies dans la peine se mêlent à ces tourments ?
Quels supplices exquis se mêlent à ce bonheur ?
Et renoncer pour jamais au désir d’être libre
Pourvu que le cœur bat, et jouisse de ses chaines.
Hééé !
Quel étrange soupir soulève cette poitrine,
Satisfait et comblé, comme empli de sa joie,
Et exhalant son râle comme un ronronnement ?
Et Rayonner de sourire, et béat comme un ange
Vicieux comme un démon, grimaçant de plaisir !
Jouir de la corde qui vous lie au maitre de votre âme,
Jouir de ce qu’il vous accorde comme du plus grand trésor,
Et jouir tout autant de ce dont il vous prive,
Et réaliser alors, n’exister que pour lui !
Aaah !
L’amour de n’être rien, entre vos bras de braise,
S’en remettre à vos mains, et accepter sans faillir
La puissance et la force qui vous prend dans les tripes !
Etre là à vos pieds, comme un tigre domestique,
Abandonnant pleinement sa sauvage nature
Pour le plaisir infini de vos dures caresses.
Rester seul à attendre, dans l’angoisse, votre retour,
Pour jouir comme un chiot de vous voir à la porte,
Et en pisser de joie, le cœur à tout rompre.
Ouiii !
Renoncer à avoir, pour ne plus vivre que d’être !
Ce désir consume. Il chauffe, et il brûle,
Mais sans hésitation, y vivre pour toujours,
Plutôt que sur la glace d’une froide banquise.
Se rendre, se livrer, se soumettre et se donner,
Se regarder heureux dans vos yeux qui transpercent
Et que la peau soit un acte qui proclame votre nom !
Vous aimer, vous aimer, et être votre plaisir,
Se donner, se donner, et vous appartenir !
Celui qui est à vos pieds, vous aime
Leo
Cette musique dans la tête, tourbillon absolu
Où bascule la raison, et flambe dans l’extase
Pour un vertige trop fort et cet élan trop grand,
Accepter la prison des déluges intimes
Qui disent leur bonheur autant que leur terreur !
Quelles joies dans la peine se mêlent à ces tourments ?
Quels supplices exquis se mêlent à ce bonheur ?
Et renoncer pour jamais au désir d’être libre
Pourvu que le cœur bat, et jouisse de ses chaines.
Hééé !
Quel étrange soupir soulève cette poitrine,
Satisfait et comblé, comme empli de sa joie,
Et exhalant son râle comme un ronronnement ?
Et Rayonner de sourire, et béat comme un ange
Vicieux comme un démon, grimaçant de plaisir !
Jouir de la corde qui vous lie au maitre de votre âme,
Jouir de ce qu’il vous accorde comme du plus grand trésor,
Et jouir tout autant de ce dont il vous prive,
Et réaliser alors, n’exister que pour lui !
Aaah !
L’amour de n’être rien, entre vos bras de braise,
S’en remettre à vos mains, et accepter sans faillir
La puissance et la force qui vous prend dans les tripes !
Etre là à vos pieds, comme un tigre domestique,
Abandonnant pleinement sa sauvage nature
Pour le plaisir infini de vos dures caresses.
Rester seul à attendre, dans l’angoisse, votre retour,
Pour jouir comme un chiot de vous voir à la porte,
Et en pisser de joie, le cœur à tout rompre.
Ouiii !
Renoncer à avoir, pour ne plus vivre que d’être !
Ce désir consume. Il chauffe, et il brûle,
Mais sans hésitation, y vivre pour toujours,
Plutôt que sur la glace d’une froide banquise.
Se rendre, se livrer, se soumettre et se donner,
Se regarder heureux dans vos yeux qui transpercent
Et que la peau soit un acte qui proclame votre nom !
Vous aimer, vous aimer, et être votre plaisir,
Se donner, se donner, et vous appartenir !
Celui qui est à vos pieds, vous aime
Leo